SOURCE ANONYME
Champs Electro-Magnétiques, conscience et ADN
Il est essentiel de poursuivre la recherche sur ces relations Ă©lectromagnĂ©tiques, car peut-ĂȘtre que la survie de notre espĂšce psychophysique en dĂ©pend. Elles affectent notre mental, la structure gĂ©nĂ©tique et cellulaire de notre corps, nos cycles de sommeil et de rĂȘve, nos Ă©motions et peut-ĂȘtre mĂȘme de notre esprit. Il faut poursuivre la surveillance et le relevĂ© des effets de ces actions sur lâatmosphĂšre et de leur influence potentielle sur lâionosphĂšre et la RS, et donc sur le cerveau humain et la santĂ©. Nous approchons de la fin dâun cycle de taches solaires et devrions consacrer un cycle complet de 11 annĂ©es Ă rĂ©colter des rĂ©sultats prĂ©cis de donnĂ©es, comme le suggĂ©rait Hainsworth (Miller & Miller, 2002-2003).
Divers chercheurs et physiciens sont en train de rassembler des donnĂ©es pertinentes sous les auspices du Journal of Non-Local and Remote Mental Interactions (JNLRMI) (voir site Internet http://www.emergentmind.org), Ă©ditĂ© par le scientifique Lian Sidorov. Une des hypothĂšses majeure de ce groupe est que les champs EM extĂ©rieurs au corps sont cruciaux pour notre conscience. Matti Pitkanen a mis au point un modĂšle physique appelĂ© Topological Geometrodynamics (TGD), qui met en lumiĂšre la relation Ă©troite entre la physiologie humaine et la RS ainsi que dâautres schĂ©mas ELF et Ă©lectromagnĂ©tiques.
Pitkanen pense que le champ magnĂ©tique terrestre nâest pas le seul facteur dĂ©terminant de la vie consciente, il cite aussi les champs interplanĂ©taires et interstellaires. Ses dĂ©monstrations font rĂ©fĂ©rence Ă lâexistence de canaux de flux magnĂ©tique, composante du champ magnĂ©tique mondial, qui se comporte comme un dipĂŽle Ă©lectrique. Une large gamme dâondes EM, en particulier les micro-ondes et les ondes radio, joue probablement un rĂŽle clef dans lâhomĂ©ostasie, dans lâensemble des interactions mentales Ă distance entre les cellules et dâautres structures et la reprĂ©sentation sensorielle, ainsi que dans les tĂ©lĂ©-interactions mentales Ă la fois dans et hors du corps. Il explique que le niveau de bruit du champ magnĂ©tique terrestre doit ĂȘtre assez bas pour permettre lâESP (la perception extrasensorielle).
Il y a plusieurs dĂ©cennies, Alan Frey avait Ă©voquĂ© des notions de champ similaires, dĂ©signant en particulier ta gamme des micro-ondes. Ces champsEM ne sont que corrĂ©latifs Ă la conscience. Toutefois, le modĂšle TGD permet dâassigner au champ corporel de quelquâun une identitĂ© quantique de champ topologique. Pitkanen suggĂšre aussi que ces champs et ondes ont une influence lorsque les systĂšmes biologiques exĂ©cutent des processus quantiques analytiques. Son approche biophysique indique que les circuits neuraux et les molĂ©cules sont liĂ©s par des mĂ©canismes de verrouillage par ce processus de circulation magnĂ©tique (champs magnĂ©tiques dipolaires topologiquement quantifiĂ©s).
Pitkanen considĂšre mĂȘme le champ magnĂ©tique terrestre comme une interaction de champ magnĂ©tique dipolaire quantifiĂ© de nouage, de liaison et de torsion complexe. Le TGD perçoit le cerveau et le systĂšme nerveux comme lâorgane sensoriel de notre moi Ă©lectromagnĂ©tique Ă©tendu, qui possĂšde une Ă©chelle de grandeur au moins Ă©gale au diamĂštre terrestre. Il ajoute que les phĂ©nomĂšnes psi et les guĂ©risons Ă distance pourraient impliquer le transfert de frĂ©quences Ă©lectromagnĂ©tiques spĂ©cifiques par les "wormholes" [notion propre Ă la cosmologie, litt. "trous de vers" ; voir thĂ©orie des univers jumeaux] Ă longueur de Plant et par les effets frontiĂšres postulĂ©s par le TGD, ce qui permettrait le transfert quasi-instantanĂ© de lâinformation.
L âhypothĂšse du canevas sensoriel magnĂ©tique (MSC) dĂ©crit un mĂ©canisme permettant de "partager les qualia" [Ndt : "qualia" = aspects phĂ©nomĂ©naux de notre vie mentale ; "quale" au singulier] associĂ©s Ă des points distants sur la sphĂšre gĂ©omagnĂ©tique, essentiellement une forme dâimbrication cognitive entre lâopĂ©rateur et la cible... Un des avantages Ă©vidents du TGD par rapport Ă dâautres modĂšles de transmission subtile dâĂ©nergie est que les champs EM ne sont pas directement portĂ©s de lâĂ©metteur Ă la cible, mais sont gĂ©nĂ©rĂ©s simultanĂ©ment en chaque lieu par un courant (gĂ©omĂ©trique) de vide : ainsi demeurent-ils cohĂ©rents en Ă©vitant le paradoxe de la non attĂ©nuation sur la distance...
Lâillusion de notre localisation est renforcĂ©e par les donnĂ©es que nous apportent nos sens, câest-Ă -dire les perceptions auxquelles nous sommes accoutumĂ©s Ă prĂȘter attention. (Sidorov, 2002).
Dâautres recherches suggĂšrent que lâinteraction fondamentale des champs externes et internes constitue la bonne voie. Joseph Jacobson (2002), du MIT, a trouvĂ© un moyen de connecter et dĂ©connecter des cellules avec les ondes radio. Son Ă©quipe a aussi "dĂ©zippĂ©" et manipulĂ© lâADN avec des impulsions de radiofrĂ©quences. Le mĂȘme procĂ©dĂ© fonctionne aussi avec les protĂ©ines et celles-ci gouvernent presque tous les processus chimiques cellulaires.
D_âautre part, le physicien Peter Gariaev a proposĂ© un gĂ©nome fondĂ© sur les ondes, dont le canal dâinformation principal est le mĂȘme pour les biophotons et les ondes radio._
En 1973, Miller et Webb dĂ©crivirent lâADN comme un projecteur holographique (cf. Embryonic Holography, 2002). En dâautres termes les gĂšnes sont encodĂ©s et se manifestent via la lumiĂšre et les ondes radio, ou lâholographie acoustique (cf. Miller, Miller et Webb : Quantum Bioholography, 2002). Des schĂ©mas dâinterfĂ©rence dĂ©localisĂ©s crĂ©ent des champs dâĂ©talonnage (schĂ©mas directeurs) pour lâorganisation spatio-temporelle de notre corps. Le systĂšme fonctionne comme un bio-ordinateur Ă ondes. LâADN peut aussi fonctionner comme un cristal liquide colloĂŻdal Ă©mettant une faible lumiĂšre de type laser qui peut ĂȘtre convertie en un signal Ă©lectroacoustique.
BiosystÚmes, Résonance de Schumann et perceptions extra sensorielles
Pour conclure, Miller et Miller, ainsi que dâautres, postulent que :
Des champs Ă©lectromagnĂ©tiques complexes dĂ©terminent lâorganisation de tous les systĂšmes biologiques. Fondamentalement, nous sommes des ĂȘtres Ă©lectromagnĂ©tiques plutĂŽt que chimiques. Lâinteraction ondulatoire est la clef qui dĂ©termine la structure biologique et son fonctionnement optimal. Les biosystĂšmes sont sensibles aux champs Ă©lectromagnĂ©tiques naturels et artificiels. Les perturbations des champs de lâenvironnement peuvent induire des changements dans les organismes que ces champs informent. Les frĂ©quences et amplitudes de champs affectent notre Ă©tat bio-dynamique.
Les frĂ©quences ELF de la RĂ©sonance de Schumann sont intimement liĂ©es Ă celles des ondes cĂ©rĂ©brales humaines. Des changements induits naturellement ou artificiellement dans la RS pourraient affecter de maniĂšre subtile, voire forte, la gĂ©nĂ©ration des ondes cĂ©rĂ©brales. En particulier, cela pourrait conduire Ă des changements de schĂ©mas de frĂ©quences de rĂ©sonance et aux phĂ©nomĂšnes qui en rĂ©sultent tels que lâhomĂ©ostasie, les REM, la psi et la guĂ©rison.
Pendant une dizaine dâannĂ©es, Robert Beck... fit des recherches sur lâactivitĂ© des ondes cĂ©rĂ©brales des guĂ©risseurs de toutes cultures et religions, (il Ă©numĂšre les mĂ©diums, les chamans, les radiesthĂ©sistes, les guĂ©risseurs chrĂ©tiens, les voyants, les lecteurs dâESP les praticiens de Kahuna, Santeria, Wicca et autres), qui, indĂ©pendamment de leurs systĂšmes de croyances, manifestaient "des signatures EEG quasi identiques" au moment de leurs actions de "guĂ©rison" : une activitĂ© dâondes cĂ©rĂ©brales de 7,8 Ă 8 Hz, qui durait dâune Ă plusieurs secondes et qui Ă©tait "synchronisĂ©e en phase et en frĂ©quence avec les micro-pulsations gĂ©o-Ă©lectriques de la Terre ; la RS". (Sidorov, 2001).
Les cristaux liquides (lâADN, les ventricules cervicaux et les structures cellulaires) du corps humain peuvent fonctionner comme des antennes qui dĂ©tectent et dĂ©codent les signaux ELF globaux et locaux. Beal (1996) suggĂšre que les cristaux liquides (qui sont des Ă©lĂ©ments intrinsĂšques des membranes cellulaires) agissent comme des mĂ©canismes de dĂ©tection, amplification et mĂ©morisation pour les schĂ©mas ELF EM de lâenvironnement. Les protĂ©ines tendent Ă sâorienter selon le EMF (champ Ă©lectromagnĂ©tique) rĂ©sonnant Ă 10 Hz et seraient donc trĂšs sensibles aux changements dâELF dans cette gamme. Un champ dâondes cohĂ©rent peut Ă©maner de la matrice de cristaux liquide (LC) du corps.
La structure propre et lâorganisation des tissus vivants sont cependant gouvernĂ©es par la molĂ©cule clĂ© quâest lâADN. Le systĂšme gĂ©nĂ©tique (qui, pour ĂȘtre plus prĂ©cis, est constituĂ© dâune fonction de translation equidirectionnelle qui peut partir aussi bien de lâADN de lâARN que de la protĂ©ine) sâavĂšre ĂȘtre un code complexe, multidimensionnel avec des matĂ©riaux (nuclĂ©otide) Ă la fois locaux (codon) et globaux (contexte) et des paramĂštres de champs (hologramme EM), tous interdĂ©pendants et Ă©galement sujets aux influences externes de lâenvironnement. (Sidorov, 2002).
Il existe un rapport étroit entre les désordres du comportement humain et les périodes de perturbations solaires et magnétiques.
RĂ©ciproquement, des Ă©tudes ont montrĂ© que des sujets qui vivent assez longtemps isolĂ©s des rythmes Ă©lectromagnĂ©tiques dĂ©veloppent des irrĂ©gularitĂ©s croissantes et des rythmes physiologiques chaotiques. Ceux-ci sont rĂ©tablis de façon spectaculaire par lâintervention dâun faible champ Ă©lectrique de 10 Hz. Les premiers astronautes en furent victimes jusquâau moment oĂč des gĂ©nĂ©rateurs RS furent installĂ©s dans les vaisseaux spatiaux.
Les anomalies géomagnétiques (tensions tectoniques, earthlights, perturbations du champ géomagnétique) peuvent induire certaines formes de perception paranormale, telles que des hallucinations visuelles et auditives, et les TLT (transitoires du lobe temporal, ou attaque légÚre).
Aussi, un des effets de la mĂ©ditation est de" "calmer lâesprit" câest une mĂ©thode permettant dâinstaller le "libre cours" (ou pĂ©riodes de silence thalamique) et dâĂȘtre entraĂźnĂ© par les rythmes gĂ©ophysiques naturels. Cette forme dâaccord ou de "magnĂ©to-rĂ©ception" est relayĂ©e par la glande pinĂ©ale (30% de ses cellules sont sensibles au magnĂ©tisme) et les tissus organiques contenant de la magnĂ©tite.
Persinger (1989) fait observer que lâactivitĂ© profonde du lobe temporal existe en Ă©quilibre avec la condition gĂ©omagnĂ©tique globale. Lorsquâil y a une brusque diminution de lâactivitĂ© gĂ©omagnĂ©tique, il semble se produire une majoration des processus qui facilitent la perception psi, particuliĂšrement la tĂ©lĂ©pathie et la clairvoyance. Les augmentations de lâactivitĂ© gĂ©omagnĂ©tique peuvent rĂ©duire le niveau de mĂ©latonine de la glande pinĂ©ale et contribuer Ă rĂ©duire les seuils dâattaques corticales. En fait, la mĂ©latonine est en relation aVec les dĂ©sordres du lobe temporal tels que les dĂ©pressions et les attaques. (Krippner 1996).
Les conditions ELF globales optimales (nuit calme, faible activité solaire, faible pollution EM) peuvent faciliter les perceptions paranormales, y compris psi telles que ESP, vision et guérison à distance.
La psi est toujours prĂ©sente dans lâespace et le temps, attendant dâĂȘtre activĂ©e par une crise, par lâĂ©motion ou par des paramĂštres de stimulus optimaux en laboratoire. LâactivitĂ©. gĂ©omagnĂ©tique est susceptible dâaffecter la capacitĂ© de dĂ©tection de cette information par le cerveau, particuliĂšrement les chemins neuraux qui facilitent la consolidation et lâaccĂšs conscient Ă cette information. En lâabsence de cette activitĂ© gĂ©omagnĂ©tique, lâĂ©veil au stimulus psi serait moins probable et les "capacitĂ©s de rĂ©serves latentes" du cerveau ne seraient pas utilisĂ©es. (Krippner 1996).
Sidorov (2001) et dâautres ont suggĂ©rĂ© que lâintention humaine fonctionne comme une fenĂȘtre variable de transmission/rĂ©ception dans lâĂ©change dâinformation extrasensorielle, peut-ĂȘtre dans la gamme des frĂ©quences ELFĂ©lectromagnĂ©tiques. La synchronisation cĂ©rĂ©brale de lâĂ©metteur et du rĂ©cepteur avec la RS facilite la psi ou "lâentraĂźnement thĂ©rapeutique", amplifiant, rĂ©-Ă©mettant des formes dâondes cohĂ©rentes dĂ©rivĂ©es de lâenvironnement, imitant le schĂ©ma dâondes de lâenvironnement. Sidorov avance lâhypothĂšse suivante :
Les ondes cĂ©rĂ©brales (particuliĂšrement dans la gamme alpha) peuvent ĂȘtre transmises via le systĂšme pĂ©rineural (ou via lâexcitation de Frohlich) vers nâimporte quelle zone Ă©loignĂ©e du corps, et mĂȘme vers des organismes adjacents, par les ondes EM ELF Ces frĂ©quences peuvent ĂȘtre amplifiĂ©es par des ondes RS voisines ou par un mĂ©canisme de feedback typique des chemins physiologiques du corps (semblables aux cascades immunologiques et neuro-endocrinologiques).
Ă leur tour ces frĂ©quences de base peuvent rĂ©activer les processus de guĂ©rison interrompus, favoriser la croissance, accĂ©lĂ©rer les rĂ©ponses immunitaires et en gĂ©nĂ©ral provoquer le dĂ©marrage des fonctions inhĂ©rentes aux tissus corporels en "rééquilibrant ses Ă©nergies" (selon la mĂ©decine orientale) ou (dans la terminologie de Real) en reconfigurant lâorientation des cristaux liquides des composants des membranes cellulaires et en dĂ©clenchant ainsi des rĂ©ponses intracellulaires spĂ©cifiques. (Sidorov, 2001).
Nous Ă©mettons lâhypothĂšse, avec Pitkanen et Sidorov, que la RS pourrait ĂȘtre le substrat dâun mĂ©canisme de perception extrasensorielle de type radar commun Ă tous les ĂȘtres vivants. De mĂȘme que lâeau bondissant sur les rochers ou sur tous objets submergĂ©s, cette frĂ©quence non-spĂ©cifique est absorbĂ©e et rĂ©-Ă©mise en schĂ©mas interfĂ©rentiels uniques propres Ă chaque objet rencontrĂ©.
Ce schĂ©ma dâinterfĂ©rence est un composite de propriĂ©tĂ©s externes et internes, puisque les atomes et molĂ©cules les constituants ainsi que leur assemblage global retransmettent tous cette Ă©nergie selon leurs configurations spĂ©cifiques. Non seulement cela, mais les "ondes de sonde" peuvent ĂȘtre modulĂ©es en frĂ©quence et en forme de maniĂšre intentionnelle afin de fournir une information spĂ©cifique (schĂ©mas dâinterfĂ©rence). DĂ©codĂ©es par le cerveau, elles reviennent quasi instantanĂ©ment "sur le dos" de la RS. Une fois reprises, le cerveau dĂ©code le schĂ©ma. Dans cette transformation de type Fourier, lâinformation est traduite en donnĂ©es conscientes, de façon similaire Ă dâautres processus sensoriels.
RĂ©ciproquement, des effets spĂ©cifiques peuvent ĂȘtre empreints comme bio information et "produire une action mystĂ©rieuse Ă distance" lorsque le signal arrive Ă destination. Sous de bonnes conditions globales (prĂ©alables), le schĂ©ma peut, Ă son tour, Ă©viter la dissipation usuelle et sâaccoupler Ă lâonde stationnaire dominante (Ă©tat de conscience") qui est saisie et portĂ©e par la RS.
Lâintention mentale peut fonctionner comme une fenĂȘtre variable de transmission/rĂ©ception dans lâĂ©change dâinformation extrasensorielle. AccordĂ©e Ă la RS, elle peut porter Ă des cibles lointaines une telle information et fonctionner comme un interface primitif de type radar. Tout ceci et dâautres mĂ©canismes dĂ©pend de ce que les frĂ©quences RS demeurent dans leur gamme mĂ©diane, en harmonie avec nos ondes cĂ©rĂ©brales.
Ă lâissue de prĂšs de huit dĂ©cades dâEEG et autres Ă©tudes dâimageries du cerveau, nous sommes contraints dâadmettre que nous ne pouvons toujours pas prĂ©ciser avec certitude dâoĂč proviennent les voltages de lâEEG. Becker ; 1985, pg.88)...
Il est concevable que le systĂšme pĂ©rineural selon Becker ou la matrice LC de lâorganisme (incluant, sans limitation, les tissus conjonctifs, les membranes cellulaires et IWN) pourrait fonctionner comme un rĂ©seau de rĂ©cepteurs sensoriels du corps entier pour le canevas de signaux sensoriels magnĂ©tiques de Pitkanen, avec encodage spĂ©cifique de schĂ©mas dâexcitation pour diffĂ©rents types dâinformation... Les rĂ©seaux de cristaux liquides omniprĂ©sents du corps et leurs possibilitĂ©s de configurations quasi infinies en font des candidats de premier plan pour constituer les rĂ©cepteurs sensoriels primaires que la parapsychologie espĂšre trouver.
On peut mĂȘme concevoir que les propriĂ©tĂ©s de conjugaison de phase de lâADN (Popp et Chang, 1998) leur confĂšrent un fonctionnement dâantenne multi-mode, modifiant leurs fonctions selon les champs de signaux environnants et peut-ĂȘtre en agissant non seulement comme un programme rĂ©gulateur mais aussi un Ă©lĂ©ment de perception "extrasensorielle". (Sidorov, 2002).